En 2020, les tensions étaient à leur comble et la Turquie avait envoyé des troupes pour défendre le gouvernement libyen de Tripoli contre son rival de l’Est, aux mains du maréchal Haftar. Cinq ans plus tard, tout semble oublié et l’un des fils du maître de Benghazi vient d’aller parler accords de défense à Ankara.