Depuis son avènement au pouvoir en avril 2016, Patrice Talon s’est fait entourer d’une horde de cadres politiques qui conduisent avec lui les nombreuses réformes entreprises. Si certains ont dû quitter le navire, d’autres se sont vus repositionner, à maintes reprises. Celui qui aura le plus bénéficié de ce régime est le Pr. Joseph Djogbénou. Universitaire et avocat personnel du Chef de l’Etat, l’homme politique a tout gagné sous Patrice Talon.
Si c’était en football, on dirait qu’il a fait un triplet avec son club. On parlerait de Championnat, Coupes de la ligue et Ligue des champions. Même si c’est aussi important pour un footballeur de gagner la Coupe continentale (Can, Euro, …) et au final, le Mondial.
Comme un footballeur, celui qui aura était présent dans des institutions des trois premiers pouvoirs étatiques, a tout gagné en politique avec ce régime, ou presque tout (le perchoir et la Marina en vue). Joseph F. Djogbénou aura fait le triplet parfait ; l’Exécutif (ministre de la justice), le Législatif (député à l’Assemblée nationale) et le Judiciaire (président de la Cour constitutionnelle. Il aura fini le tableau, s’il montait dans les plus gros fauteuils qui l’attendent.
Une place au perchoir et après à la Marina ?
Descendu brusquement du siège de président de la Cour constitutionnel, le Pr. Djogbénou n’a pas galéré. Comme un fils béni du père, il est quelques heures plus tard monté sur la plus haute marche de la plus grande formation politique du pays, depuis l’avènement de la Rupture. Actuellement (depuis 24h seulement), élu président de l’Union Progressiste-Le Renouveau, nouveau parti politique issu du mariage de son défunt parti, l’UP, avec le PRD du Me Adrien Houngbédji.
C’est dans cette position que l’homme, qui est pressenti replacer Louis Vlavonou à la tête de l’Assemblée nationale, dans six mois, ira aux prochaines élections législatives. Et quelques années après, le plus aimé du Chef orchestre de la mouvance, pourrait succéder à Patrice Talon en 2026, et occuper le plus confortable des fauteuils de la Marina.
Si c’était en football, on dirait qu’il a fait un triplet avec son club. On parlerait de Championnat, Coupes de la ligue et Ligue des champions. Même si c’est aussi important pour un footballeur de gagner la Coupe continentale (Can, Euro, …) et au final, le Mondial.
Comme un footballeur, celui qui aura était présent dans des institutions des trois premiers pouvoirs étatiques, a tout gagné en politique avec ce régime, ou presque tout (le perchoir et la Marina en vue). Joseph F. Djogbénou aura fait le triplet parfait ; l’Exécutif (ministre de la justice), le Législatif (député à l’Assemblée nationale) et le Judiciaire (président de la Cour constitutionnelle. Il aura fini le tableau, s’il montait dans les plus gros fauteuils qui l’attendent.
Une place au perchoir et après à la Marina ?
Descendu brusquement du siège de président de la Cour constitutionnel, le Pr. Djogbénou n’a pas galéré. Comme un fils béni du père, il est quelques heures plus tard monté sur la plus haute marche de la plus grande formation politique du pays, depuis l’avènement de la Rupture. Actuellement (depuis 24h seulement), élu président de l’Union Progressiste-Le Renouveau, nouveau parti politique issu du mariage de son défunt parti, l’UP, avec le PRD du Me Adrien Houngbédji.
C’est dans cette position que l’homme, qui est pressenti replacer Louis Vlavonou à la tête de l’Assemblée nationale, dans six mois, ira aux prochaines élections législatives. Et quelques années après, le plus aimé du Chef orchestre de la mouvance, pourrait succéder à Patrice Talon en 2026, et occuper le plus confortable des fauteuils de la Marina.