Près de deux ans après l’instauration d’une surtaxe de 400 dollars par tonne censée améliorer leurs conditions de vie, les producteurs de cacao de Côte d’Ivoire et du Ghana vivent toujours dans la pauvreté. C’est que, depuis, les acheteurs ont trouvé des moyens de faire baisser le prix.
Alex Assanvo, secrétaire exécutif de l’Initiative Côte d’Ivoire-Ghana pour le cacao, a une solution pour remédier à cette situation. Cette solution s’appelle la zone de libre-échange continentale africain (Zlecaf). Faire du cacao le projet pilote de déploiement de cet instrument commercial est « [s]on grand rêve ». « Il s’agit probablement de l’un des meilleurs outils dont nous disposons pour commencer à promouvoir la transformation locale. Nous devons l’amener à un niveau où la transformation devient moins chère en Afrique. »
À lire sur The Africa Report – Côte d’Ivoire – Ghana : Will AfCFTA offer cocoa