Présent au parquet du tribunal de première instance de première classe de Porto-Novo, un député de la 8è législature, accusé d’un présumé viol par une dame et son mari pasteur a pris ses accusateurs à contrepied. Contrairement à la version des plaignants, l’honorable a nié les faits.
Le problème de viol évoqué sur les réseaux sociaux et impliquant un député de la place est désormais transféré au tribunal de Porto-Novo. Hier, les plaignants et l’accusé d’un présumé viol étaient tous au tribunal. Devant le procureur, le député avoue qu’il a entrepris des relations intimes avec la dame, sa secrétaire depuis au moins six mois. A l’en croire, le viol datant du 26 septembre dont parle le couple plaignant n’est que la partie visible de l’iceberg. Une thèse réfutée par la dame qui soutient que la première tentative a été celle du 26 septembre. Selon les déclarations du député, il aurait été harcelé par sa secrétaire.
En outre, un proche du député cité et qui aurait remis 600 mille dont les médias sociaux ont fait cas avec une décharge divulguée sur la toile qu’il aurait remis au mari de la dame, devraient servir à construire une église.
Après avoir écouté les différentes parties, selon les informations, le procureur a reporté le procès au 24 prochain. Demandant à chaque partie d’apporter ses preuves.
Au départ, tout est parti des audios diffusés sur la toile accusant le député d’avoir commis un viol sur sa secrétaire. Mais la réplique ne s’est pas fait attendre. Puisque dans un autre audio, la version contraire a été servie. Confié après une plainte du couple à la brigade des mineurs, le dossier a été renvoyé devant le parquet de Porto-Novo.