En début d’année 2020, le monde avait été frappé de plein fouet par la crise sanitaire de la covid-19. Le virus est apparu dans la ville chinoise de Wuhan avant de se propager à l’échelle planétaire. L’humanité était alors confrontée à un nouveau modèle de pathologie qui a occasionné de gros dégâts. En Angleterre, des chercheurs ont détecté un nouveau virus de type covidien chez des chauves souris indigènes. Selon les chercheurs britanniques, il faut prendre très au sérieux cette nouvelle menace, car ce virus possède une incroyable capacité de mutation, ce qui met d’office en danger l’être humain.
L’agent pathogène qui a cristallisé toutes les attentes est le RhGB07 qui est un virus appartenant à la même grande famille d’agents pathogènes que le virus Covid, SARS-CoV-2. Les experts ont donc sonné l’alerte maximale afin que des mesures idoines soient prises pour contrôler ce nouveau coronavirus. Le directeur général de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) Tedros Adhanom Ghebreyesus a signifié à plusieurs reprises qu’il faut que le monde se dote de mécanismes fiables pour détecter plus rapidement la survenue de futures pandémies.
Selon L’OMS, le monde sera confronté à d’autres pandémies dans les années à venir et il faudra que le système sanitaire mondial soit en veille pour limiter au maximum les conséquences. Les experts affirment également que le changement climatique, l’urbanisation croissante, qui entraînent une perte d’habitat et, par conséquent, des déplacements accrus d’animaux en raison de la destruction de l’environnement, constituent autant de facteurs à l’apparition de nouvelles formes de pathologies.