Alors que l’État algérien peine toujours à récupérer l’argent et les biens détournés sous l’ère Bouteflika, une nouvelle loi vise à introduire une procédure promettant des allègements de peine à ceux qui entreraient volontairement dans une démarche de restitution. D’anciens ministres pourraient, notamment, en bénéficier à certaines conditions.