L’examen du baccalauréat quoique bien organisé avec succès par le gouvernement à travers la Direction de l’Office du BAC a fait de victimes dans le rang des candidats. Le cas le plus récent est celui d’une candidate du Ceg Akassato.
Selon les informations de l’Investigateur, une candidate à l’examen du baccalauréat, dans le département de l’Atlantique, a perdu la raison juste après avoir constaté qu’il lui manquait un point (01) pour être admissible.
En effet, selon les aveux de l’un de ses proches parents, elle était déjà attristée par son échec, mais elle a pu être consolée par sa famille après la délibération. Passée cette étape, début de ses déboires, survint celle du « relevé de notes ». Car, après le retrait, elle a constaté qu’il lui manquait un point (01) pour être admissible. C’est ainsi que Mademoiselle B. H. D, N°669 DA 11308 a pété un câble. D’ailleurs, rapporte la source, c’est au moment du retrait de son relevé de notes, et après le constat qu’elle a reçu un choc et ne s’en est plus remise. Elle a totalisé pour sa série A2, 188 points au lieu de 189 (NDLR 21 comme total des coefficients) pour être admissible. « Juste un point et … pour moi ! », s’écria-t-elle sur les lieux de retrait. Et la suite, elle a perdu le nord au point que s’en est suivi un déraisonnement. « Quand je l’appelle, elle me demande c’est qui », a confié le proche parent qui poursuit. « Il lui arrive parfois de prendre la voie toute seule tout en monologuant. La dernière fois, une moto a failli l’a cognée », complète notre source.
Un cas difficile à gérer désormais pour sa famille si ce n’est solliciter le secours du ministère de la famille peut-être ?