Urbi
orbi, le 03 mai : c’est la journée de libre expression de la presse. Soit !
24 heures chrono pour cracher dans la soupe…, crever l’abcès…et dénoncer ce mal
qui ronge journaliste, rédaction et sociétés de presse. La presse est inamovible
et reste ce sel qui passe « forcé » dans toutes les soupes. Peu ou
prou, la presse, c’est « à prendre ou prendre ». Sur le vieux
continent, tous les confrères et consœurs ont le même problème : « la
protection ou la couverture ». Alors que « Protéger les
journalistes, c’est protéger la démocratie ».