Les autorités congolaises ont décidé d’engager des poursuites contre l’ex-président, dont le retour à Goma, en zone rebelle, a été annoncé le 18 avril – sans pour autant être confirmé. Le ministre de l’Intérieur revient, pour Jeune Afrique, sur cette riposte judiciaire contre Joseph Kabila, accusé de soutenir l’Alliance Fleuve Congo/M23.