Nizar Baraka, le secrétaire général de l’Istiqlal, au siège du parti, à Rabat, le 14 juillet 2021. © Naoufal Sbaoui pour JA
Publié le 20 mars 2024
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L’union sacrée aura été éphémère, et l’unanimité n’aura duré que quelques instants. À la veille de son 18e congrès, prévu du 26 au 28 avril à Bouznika, l’Istiqlal, l’une des composantes de la majorité gouvernementale, est en ébullition. Si son actuel dirigeant, Nizar Baraka, bénéficie de la confiance des différentes factions du parti pour entamer un deuxième mandat, la base, elle, se déchire.
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